Selon un communiqué diffusé ce week-end par le service d’information des Nations Unies, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est dit choqué dimanche de constater les dégâts environnementaux causés à la mer d'Aral qu'il a survolée dimanche en hélicoptère en compagnie du premier ministre ouzbèke, Shavkat Mirziyoyev.
« Il est clair que c'est l'une des pires catastrophes environnementales du monde. J'ai été choqué », a dit M. Ban. « Cela m'a laissé un profond sentiment de tristesse qu'une mer puisse disparaître de la sorte ».
Il y a cinquante ans, la mer d'Aral était le quatrième plus grand lac de la planète. La superficie du lac a été réduite de 70% principalement à cause du détournement de l'eau des rivières qui s'y jetaient pour des projets d'irrigation agricole.
« C'est un témoignage flagrant de ce qui arrive lorsque nous gaspillons nos ressources communes, lorsque nous négligeons l'environnement, lorsque nous gérons mal l'environnement », a déclaré Ban Ki-moon.
Le Secrétaire général a aussi constaté combien la réduction de la surface du lac touchait directement des « millions de personnes qui ont perdu leurs moyens de subsistance ». « Nous devons travailler collectivement. C'est une responsabilité collective, une responsabilité partagée par les peuples de la région et partagée par les nations du monde ».
Le Secrétaire général a réaffirmé que l'ONU était prête à aider les pays d'Asie Centrale pour résoudre ce problème et améliorer la situation environnementale de la mer d'Aral.
« Nous devons sauver cette planète », a-t-il conclu.
Source : Service d’information des nations unies
« Il est clair que c'est l'une des pires catastrophes environnementales du monde. J'ai été choqué », a dit M. Ban. « Cela m'a laissé un profond sentiment de tristesse qu'une mer puisse disparaître de la sorte ».
Il y a cinquante ans, la mer d'Aral était le quatrième plus grand lac de la planète. La superficie du lac a été réduite de 70% principalement à cause du détournement de l'eau des rivières qui s'y jetaient pour des projets d'irrigation agricole.
« C'est un témoignage flagrant de ce qui arrive lorsque nous gaspillons nos ressources communes, lorsque nous négligeons l'environnement, lorsque nous gérons mal l'environnement », a déclaré Ban Ki-moon.
Le Secrétaire général a aussi constaté combien la réduction de la surface du lac touchait directement des « millions de personnes qui ont perdu leurs moyens de subsistance ». « Nous devons travailler collectivement. C'est une responsabilité collective, une responsabilité partagée par les peuples de la région et partagée par les nations du monde ».
Le Secrétaire général a réaffirmé que l'ONU était prête à aider les pays d'Asie Centrale pour résoudre ce problème et améliorer la situation environnementale de la mer d'Aral.
« Nous devons sauver cette planète », a-t-il conclu.
Source : Service d’information des nations unies
1 commentaire:
c'est inquiétant que le secretaire de ONU découvre aujourd'hui la situation de la mer d'aral non ?
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