Figure de proue en ce qui concerne les solutions pour permettre l’accés à l’eau de tous, le dessalement n’en finit pas d’être étudié, discuté, amélioré… C’est ainsi que les 18 et 19 mai derniers, s’est tenue à Rabat, la conférence internationale sur le dessalement couplé à l’énergie solaire organisée par l’Office National de l’eau, avec l’aide de l’Observatoire méditerranéen de l’énergie. En effet, si le dessalement est montré par tous comme le meilleur moyen d’améliorer les ressources en eau potable, il n’en demeure pas moins que le coût de l’énergie nécessaire à la production reste élevé. Afin de contourner cette contrainte, le Maroc se penche de plus en plus sur des projets d’usines qui fonctionneraient à l’énergie solaire, le pays, étant bien pourvu dans ce domaine !
Depuis de nombreuses années, le Maroc utilise la technologie du dessalement pour satisfaire les besoins en eau potable de la population, notamment des régions les plus arides comme Boujdour, Lâayoune, Tan tan…
La possibilité d’allier le solaire et le dessalement devrait permettre d’accroitre de façon significative la production d’eau potable.
Lors de ces journées scientifiques, où étaient présents plus de 150 participants de nationalités diverses, plusieurs études en cours ont été présentées et discutées. Le responsable de la direction technique à l’Onep, Saïd Berrada, a ainsi pu exposé le projet de l’usine de dessalement fonctionnant, à terme, à l’énergie solaire. Comme il l’indique, « La région de Tan Tan a été choisie comme projet pilote pour le Maroc». Il s’agit de la construction d’une usine pouvant produire jusqu’à 9 000 m3 d’eau potable par jour qui serait fonctionnelle début 2012. Le tout se ferait en deux phase : la première où l’usine fonctionnerait à l’énergie électrique, puis, dans un deuxième temps, l’énergie solaire viendrait petit à petit se greffer.
Source : l’Economiste
Depuis de nombreuses années, le Maroc utilise la technologie du dessalement pour satisfaire les besoins en eau potable de la population, notamment des régions les plus arides comme Boujdour, Lâayoune, Tan tan…
La possibilité d’allier le solaire et le dessalement devrait permettre d’accroitre de façon significative la production d’eau potable.
Lors de ces journées scientifiques, où étaient présents plus de 150 participants de nationalités diverses, plusieurs études en cours ont été présentées et discutées. Le responsable de la direction technique à l’Onep, Saïd Berrada, a ainsi pu exposé le projet de l’usine de dessalement fonctionnant, à terme, à l’énergie solaire. Comme il l’indique, « La région de Tan Tan a été choisie comme projet pilote pour le Maroc». Il s’agit de la construction d’une usine pouvant produire jusqu’à 9 000 m3 d’eau potable par jour qui serait fonctionnelle début 2012. Le tout se ferait en deux phase : la première où l’usine fonctionnerait à l’énergie électrique, puis, dans un deuxième temps, l’énergie solaire viendrait petit à petit se greffer.
Source : l’Economiste
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