"Nous sommes habitués à voir le choléra ici pendant la saison pluvieuse, mais nous ne comprenons pas ce qui arrive cette année," explique Kuété Fotié Yves, le directeur de santé dans le quartier de Moloko, au sud du pays.
En effet, déjà 94 personnes sont mortes des suites de la maladie rien que dans ce quartier et le pire resterait à venir. A la fin du mois de juillet, 1.300 cas ont été répertoriés dans l'extrême nord du pays.
La "maladie de la pauvreté" se répand facilement selon les assistants sanitaires parce que les gens n'ont ni accès à une eau salubre ni même à des latrines.
Plusieurs actions ont déjà été menées pour lutter contre l'épidémie. Des écoles ont été transformées en centres de santé, mais le manque d'électricité ne joue pas en leur faveur. Néanmoins les soins sont fournis gratuitement avec le soutien de la Croix Rouge et de l'UNICEF, de l'Organisation Mondiale de la Santé et du Fond des populations de l'ONU.
Source IRIN
En effet, déjà 94 personnes sont mortes des suites de la maladie rien que dans ce quartier et le pire resterait à venir. A la fin du mois de juillet, 1.300 cas ont été répertoriés dans l'extrême nord du pays.
La "maladie de la pauvreté" se répand facilement selon les assistants sanitaires parce que les gens n'ont ni accès à une eau salubre ni même à des latrines.
Plusieurs actions ont déjà été menées pour lutter contre l'épidémie. Des écoles ont été transformées en centres de santé, mais le manque d'électricité ne joue pas en leur faveur. Néanmoins les soins sont fournis gratuitement avec le soutien de la Croix Rouge et de l'UNICEF, de l'Organisation Mondiale de la Santé et du Fond des populations de l'ONU.
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