L’an dernier, le Sedif (Syndicat des eaux d'île-de-France) a réalisé une étude de vulnérabilité et a adopté un plan d’investissement de 22 M€ pour sécuriser ses sites. Pour ce faire, le Sedif a travaillé en coopération avec le ministère de la Défense.
« Dans les usines principales, le but, c’est de détecter les intrusions au plus vite », explicite Jacques Cavard, directeur général des services techniques du Sedif. Un impressionnant réseau de caméras de surveillance a été déployé, particulièrement en fin de cycle. « C’est là que le risque de contamination est le plus important, quand l’eau est traitée », justifie Jacques Cavard. Les clôtures ont également été renforcées par des haies défensives. Le contrôle de la surveillance se fait depuis une petite salle dans l’usine. Si un incendie venait à se déclarer dans la salle de contrôle de l’usine, le personnel pourrait utiliser un poste de secours ultrasécurisé. Pour y accéder, il faut se munir d’une mallette noire qui contient la clé, le badge d’accès et les codes d’activation de ce QG d’appoint. Derrière une porte blindée, c’est une réplique miniature du poste de commandement principal qui permet de gérer l’usine normalement. Localisation et photos interdites. On n’est jamais trop prudent.
En raison de la proximité avec la Seine, l’usine de Choisy est aussi dotée d’un plan anti-inondations. Deux cent vingt mètres de barrières quasi étanches, d’une hauteur variant entre 60 cm et 2,2 m, peuvent être déployés en quelques heures sur tout le site. Le système doit permettre au centre de faire face à une crue du niveau de celle de 1910. « Le site est sécurisé, a constaté Martine Monteil à la fin de sa visite. Toute forme d’éventualité a été prévue. » Le Sedif y met les moyens : le syndicat consacre 2 M€ par an à la sécurité de ses sites.
Source : Le Parisien
« Dans les usines principales, le but, c’est de détecter les intrusions au plus vite », explicite Jacques Cavard, directeur général des services techniques du Sedif. Un impressionnant réseau de caméras de surveillance a été déployé, particulièrement en fin de cycle. « C’est là que le risque de contamination est le plus important, quand l’eau est traitée », justifie Jacques Cavard. Les clôtures ont également été renforcées par des haies défensives. Le contrôle de la surveillance se fait depuis une petite salle dans l’usine. Si un incendie venait à se déclarer dans la salle de contrôle de l’usine, le personnel pourrait utiliser un poste de secours ultrasécurisé. Pour y accéder, il faut se munir d’une mallette noire qui contient la clé, le badge d’accès et les codes d’activation de ce QG d’appoint. Derrière une porte blindée, c’est une réplique miniature du poste de commandement principal qui permet de gérer l’usine normalement. Localisation et photos interdites. On n’est jamais trop prudent.
En raison de la proximité avec la Seine, l’usine de Choisy est aussi dotée d’un plan anti-inondations. Deux cent vingt mètres de barrières quasi étanches, d’une hauteur variant entre 60 cm et 2,2 m, peuvent être déployés en quelques heures sur tout le site. Le système doit permettre au centre de faire face à une crue du niveau de celle de 1910. « Le site est sécurisé, a constaté Martine Monteil à la fin de sa visite. Toute forme d’éventualité a été prévue. » Le Sedif y met les moyens : le syndicat consacre 2 M€ par an à la sécurité de ses sites.
Source : Le Parisien
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