La Commission européenne a mis fin à une procédure d'infraction contre la France concernant la pollution, en Bretagne, des sources d'eau potable par les nitrates. Menacé d'une lourde amende, le pays a mis en place un plan d'action qui a porté ses fruits, salué par Bruxelles.
Régulièrement épinglée ces dernières années pour non-respect des lois européennes relatives à la qualité des eaux destinées à la production d'eau alimentaire, la France avait été condamnée par la Cour de justice européenne en 2001. Menacé d'une amende de plus de 28 millions d'euros, le pays a adopté en 2007 un plan d'action qui s'est montré très efficace.
Fin 2009 en effet, seules trois sources d'eau potable présentaient encore des concentrations de nitrates légèrement supérieures à 50 mg/l, seuil fixé par la réglementation européenne. Et d'après les données relatives aux concentrations de nitrates lors de la période janvier-avril 2010, ces trois points de captage sont désormais conformes.
Saluant les efforts français, la Commission européenne a souligné qu'elle continuerait à veiller au respect de la réglementation en France, et tout particulièrement en Bretagne. Une région légumière qui consomme beaucoup d'engrais azotés responsables du fort taux de nitrates dans les eaux, et qui rassemble 50% des élevages de porcs et de volailles, ainsi que 30% des bovins.
Source : Europa.eu
Régulièrement épinglée ces dernières années pour non-respect des lois européennes relatives à la qualité des eaux destinées à la production d'eau alimentaire, la France avait été condamnée par la Cour de justice européenne en 2001. Menacé d'une amende de plus de 28 millions d'euros, le pays a adopté en 2007 un plan d'action qui s'est montré très efficace.
Fin 2009 en effet, seules trois sources d'eau potable présentaient encore des concentrations de nitrates légèrement supérieures à 50 mg/l, seuil fixé par la réglementation européenne. Et d'après les données relatives aux concentrations de nitrates lors de la période janvier-avril 2010, ces trois points de captage sont désormais conformes.
Saluant les efforts français, la Commission européenne a souligné qu'elle continuerait à veiller au respect de la réglementation en France, et tout particulièrement en Bretagne. Une région légumière qui consomme beaucoup d'engrais azotés responsables du fort taux de nitrates dans les eaux, et qui rassemble 50% des élevages de porcs et de volailles, ainsi que 30% des bovins.
Source : Europa.eu
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