Une équipe de l’Insa de Toulouse, dirigée par corrine Cabassud, se penche depuis quelques temps sur l’amélioration du traitement de l’eau, et plus particulièrement sur la filtration par membranes.
Il s’agit d’un procédé qui, grâce à des membranes permet la filtration des bactéries et virus contenus dans l’eau et ainsi réduire la dose de chlore.
La surveillance est extrême pour être sûr que ces membranes ne laissent passer aucun virus, mais en cas d’épidémie massive, d’autant plus lorsque les installations commencent à devenir vétustes ou lorsqu’il y a de fortes variations de pressions, certaines bactéries ou virus peuvent passer à travers.
Jusqu’à présent, les tests réalisés très fréquemment, ne peuvent, pour des raisons techniques être fait qu’en dehors des installations. L’équipe de l’Insa cherche donc à mettre au point de nouvelles méthode. Corinne Cabassud l’explique : « Nous avons manipulé des virus désactivés, donc inoffensifs, pour les rendre très réactifs à certains composés chimiques que nous savons mesurer très rapidement. Comme nous sommes certains qu’ils ne présentent pas de danger, nous pouvons les injecter directement dans l’eau et repérer ensuite s’ils traversent ou non les membranes ».
Ces travaux devraient permettre aux professionnels de repérer les anomalies plus rapidement et d’être ainsi plus réactifs, afin de garantir une eau potable toujours plus saine.
Source : techniques-ingénieur
Il s’agit d’un procédé qui, grâce à des membranes permet la filtration des bactéries et virus contenus dans l’eau et ainsi réduire la dose de chlore.
La surveillance est extrême pour être sûr que ces membranes ne laissent passer aucun virus, mais en cas d’épidémie massive, d’autant plus lorsque les installations commencent à devenir vétustes ou lorsqu’il y a de fortes variations de pressions, certaines bactéries ou virus peuvent passer à travers.
Jusqu’à présent, les tests réalisés très fréquemment, ne peuvent, pour des raisons techniques être fait qu’en dehors des installations. L’équipe de l’Insa cherche donc à mettre au point de nouvelles méthode. Corinne Cabassud l’explique : « Nous avons manipulé des virus désactivés, donc inoffensifs, pour les rendre très réactifs à certains composés chimiques que nous savons mesurer très rapidement. Comme nous sommes certains qu’ils ne présentent pas de danger, nous pouvons les injecter directement dans l’eau et repérer ensuite s’ils traversent ou non les membranes ».
Ces travaux devraient permettre aux professionnels de repérer les anomalies plus rapidement et d’être ainsi plus réactifs, afin de garantir une eau potable toujours plus saine.
Source : techniques-ingénieur
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