La ville de New York espère se doter d'un système permettant de capter l'eau de pluie sur ses toits afin d'empêcher que les égouts ne débordent dans les rivières lors des forts orages.
Ce dispositif serait composé d'une combinaison de toits "bleus", équipés de bassins de drainage, et de toits "verts", couverts d'herbe ou de lierre, a détaillé le maire Michael Bloomberg dans un communiqué.
Bloomberg estime que la ville pourrait économiser 2,4 milliards de dollars sur vingt ans si l'Etat de New York l'autorise à installer ce type de technologies au lieu de dépendre entièrement des infrastructures dites "grises" que sont les réservoirs de stockage et tunnels d'évacuations.
Lors de violents orages, les quatorze centrales de traitement des eaux usées de la ville deviennent d'importantes sources de pollution pour la raison principale que la majeure partie du système de circulation des eaux de New York a été construit il y a 150 ans, preuve de la vétusté des réseaux et de la nécessité pour la ville d’investir dans ses infrastructures d’eau.
Pour éviter que les centrales débordent, des sytèmes de dérivation s'enclenchent en cas d'orage et déversent les eaux usées dans les ports, les canaux et les rivières de la ville.
Selon Bloomberg, le projet étudié pourrait permettre de réduire ces déversements de 40% pour 2030, et réduirait également la facture d'eau des entreprises et des habitants.
Le projet s'inscrit dans le cadre du programme PlaNYC, par lequel la municipalité de New York souhaite réduire les émissions de carbone et la pollution de la ville d'ici 2030.
Si le projet est refusé, il en coûterait 6,8 milliards de dollars à la ville pour remettre en état son système de traitement des eaux usées, a précisé Bloomberg.
Source : Reuters
Ce dispositif serait composé d'une combinaison de toits "bleus", équipés de bassins de drainage, et de toits "verts", couverts d'herbe ou de lierre, a détaillé le maire Michael Bloomberg dans un communiqué.
Bloomberg estime que la ville pourrait économiser 2,4 milliards de dollars sur vingt ans si l'Etat de New York l'autorise à installer ce type de technologies au lieu de dépendre entièrement des infrastructures dites "grises" que sont les réservoirs de stockage et tunnels d'évacuations.
Lors de violents orages, les quatorze centrales de traitement des eaux usées de la ville deviennent d'importantes sources de pollution pour la raison principale que la majeure partie du système de circulation des eaux de New York a été construit il y a 150 ans, preuve de la vétusté des réseaux et de la nécessité pour la ville d’investir dans ses infrastructures d’eau.
Pour éviter que les centrales débordent, des sytèmes de dérivation s'enclenchent en cas d'orage et déversent les eaux usées dans les ports, les canaux et les rivières de la ville.
Selon Bloomberg, le projet étudié pourrait permettre de réduire ces déversements de 40% pour 2030, et réduirait également la facture d'eau des entreprises et des habitants.
Le projet s'inscrit dans le cadre du programme PlaNYC, par lequel la municipalité de New York souhaite réduire les émissions de carbone et la pollution de la ville d'ici 2030.
Si le projet est refusé, il en coûterait 6,8 milliards de dollars à la ville pour remettre en état son système de traitement des eaux usées, a précisé Bloomberg.
Source : Reuters
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire