Selon le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), le Burkina Faso a accompli des progrès remarquables dans l’accès à l’eau potable.
En effet, ce pays enclavé et fortement soumis aux aléas climatiques, est passé d’un taux national d'accès de 18,3% en 1993 à 66,3% en 2007, peut on lire dans un communiqué de presse.
Le Burkina Faso étant un pays enclavé s’étendant jusque dans la région Sahélienne, une région du monde des plus arides, l’eau est un enjeu des plus importants pour les populations et les activités qui en sont tributaires. En effet, l’économie Burkinabè étant basée en majeure partie sur l’agriculture et l’élevage à des fins d’alimentations des populations et d’exportation, l’eau est un combat de tous les jours en raison du climat sec et du peu de pluviométrie. D’ailleurs, de tout le territoire du Burkina Faso seul 0,1 % est recouvert d’eau.
Les précipitations tombant sur le territoire du Burkina Faso sont assez faibles et en raison de la faible capacité d’absorption des sols, contribuent majoritairement à alimenter des cours d’eau peu puissants qui coulent presque tous vers les pays voisins du sud. Les précipitations moyenne n’atteignent guère plus 748 millimètres et même beaucoup moins dans les régions du Nord du pays.
En ces dix dernières années, le pays a entrepris d'importantes réformes qui ont porté notamment sur le système de gestion des infrastructures hydrauliques d'approvisionnement en eau potable en milieu rural et semi-urbain, l'adoption d'une loi d'orientation relative à la gestion de l'eau et celui d'un plan d'action pour la gestion intégrée des ressources en eau.
Les mesures prises ont conduit au renforcement des infrastructures d'approvisionnement d'eau avec l'appui des partenaires techniques et financiers. Ainsi, le réseau d'adduction d'eau potable qui était de 881 kilomètres en 1986 a atteint 3.129 kilomètres en 2004. Entre 2006 et 2007, les projets et programmes ont permis la réalisation d'environ 1.882 forages.
Pour Pascal Karorero, Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Burkina Faso : « Ces efforts méritent d'être salués et encouragés. A juste titre, leur reconnaissance par les Nations Unies s'est traduite récemment par la nomination du pays aux prix OMD sur l'accès à l'eau potable. »
En effet, pour rappel, l’augmentation de l'accès à l'eau potable pour les populations fait partie des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), une série de mesures concrètes visant notamment à réduire la pauvreté, la faim, la mortalité maternelle et infantile, les maladies, l'inégalité entre les sexes et la dégradation de l'environnement d'ici à 2015, peut on lire dans un communiqué de presse.
Source PNUD
En effet, ce pays enclavé et fortement soumis aux aléas climatiques, est passé d’un taux national d'accès de 18,3% en 1993 à 66,3% en 2007, peut on lire dans un communiqué de presse.
Le Burkina Faso étant un pays enclavé s’étendant jusque dans la région Sahélienne, une région du monde des plus arides, l’eau est un enjeu des plus importants pour les populations et les activités qui en sont tributaires. En effet, l’économie Burkinabè étant basée en majeure partie sur l’agriculture et l’élevage à des fins d’alimentations des populations et d’exportation, l’eau est un combat de tous les jours en raison du climat sec et du peu de pluviométrie. D’ailleurs, de tout le territoire du Burkina Faso seul 0,1 % est recouvert d’eau.
Les précipitations tombant sur le territoire du Burkina Faso sont assez faibles et en raison de la faible capacité d’absorption des sols, contribuent majoritairement à alimenter des cours d’eau peu puissants qui coulent presque tous vers les pays voisins du sud. Les précipitations moyenne n’atteignent guère plus 748 millimètres et même beaucoup moins dans les régions du Nord du pays.
En ces dix dernières années, le pays a entrepris d'importantes réformes qui ont porté notamment sur le système de gestion des infrastructures hydrauliques d'approvisionnement en eau potable en milieu rural et semi-urbain, l'adoption d'une loi d'orientation relative à la gestion de l'eau et celui d'un plan d'action pour la gestion intégrée des ressources en eau.
Les mesures prises ont conduit au renforcement des infrastructures d'approvisionnement d'eau avec l'appui des partenaires techniques et financiers. Ainsi, le réseau d'adduction d'eau potable qui était de 881 kilomètres en 1986 a atteint 3.129 kilomètres en 2004. Entre 2006 et 2007, les projets et programmes ont permis la réalisation d'environ 1.882 forages.
Pour Pascal Karorero, Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Burkina Faso : « Ces efforts méritent d'être salués et encouragés. A juste titre, leur reconnaissance par les Nations Unies s'est traduite récemment par la nomination du pays aux prix OMD sur l'accès à l'eau potable. »
En effet, pour rappel, l’augmentation de l'accès à l'eau potable pour les populations fait partie des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), une série de mesures concrètes visant notamment à réduire la pauvreté, la faim, la mortalité maternelle et infantile, les maladies, l'inégalité entre les sexes et la dégradation de l'environnement d'ici à 2015, peut on lire dans un communiqué de presse.
Source PNUD
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