lundi 15 mars 2010
Les cycles chauds et froids de l’Océan font la pluie et la sécheresse…
Vers une pénurie d’eau en Belgique…
jeudi 14 janvier 2010
Vers un indice de sécheresse
dimanche 8 février 2009
La gestion de l’eau dans les pays pauvres face au réchauffement
L’ouvrage des auteurs britanniques Hedger et Cacouris « Courants séparés ? Adapter la gestion des ressources en eau au changement climatique » montre grâce à des recherches empiriques menées au Niger et dans le Nord Est du Brésil comment l’adaptation au changement climatique peut être intégré au management de l’eau de telle sorte qu’il profite aux populations les plus pauvres et vulnérables.
Ces pistes de développement trouvent un écho récent au plan international par la conférence ministérielle panafricaine « Eau pour l'agriculture et l'énergie en Afrique : les défis du changement climatique », qui a rassemblé des ministres et hauts responsables de 53 pays africains à Syrte en Lybie, et s’est conclue par une déclaration qui engage les participants à « promouvoir la mise en valeur des eaux en Afrique pour exploiter tout le potentiel agricole et hydroélectrique du continent. » Selon cette Déclaration finale, « la mise en œuvre de programmes intégrés sur l'eau, l'agriculture et l'énergie pour renforcer le développement durable de l'Afrique devrait être considérée comme une priorité. » La conférence a été organisée conjointement par l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le gouvernement lybien, en collaboration avec plusieurs partenaires, notamment l'Union Africaine (UA), le Conseil des ministres africains pour le développement de l'eau, la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission économique pour l'Afrique.
vendredi 5 septembre 2008
Le Vietnam menacé par la hausse du niveau de la mer
Une grande partie du rapport de 150 pages est consacrée aux impacts de la hausse du niveau des océans sur les villes vietnamiennes, dont Hanoi, Nam Dinh et d'autres villes côtières. Les auteurs ont constaté que "les plus grandes répercussions se produiraient notamment dans le delta du fleuve Rouge et celui du Mékong".
Dans le rapport, de nombreuses mesures sont proposées : renforcement du système des digues, des activités de lutte contre les inondations et les crues... pour aider ces villes à affronter le changement climatique mondial.
Le changement climatique fait augmenter le niveau de la mer, provoquant chaque année typhons et inondations qui menacent notamment les villes en Asie de l'Est. Selon les prévisions, le Vietnam, la Chine, le Myanmar et la Thaïlande seraient les pays les plus touchés par ce phénomène. Pourtant, "ses répercussions seront plus ou moins graves en fonction des plans d'action et des initiatives déployés par les autorités", a constaté Jim Adams, vice-président de la BM en Asie de l'Est et Pacifique.
lundi 1 septembre 2008
Bilan de la Semaine Mondiale de l’Eau
A l’occasion de cet événement, l’Institut international de l’eau de Stockholm (SIWI) a présenté son rapport qui repose sur la théorie de l’eau virtuelle « Economiser l’Eau : du champ à la fourchette, résorber les pertes et les gaspillages » qui met en garde contre les énormes quantités de nourritures jetées durant la production, le transport des denrées alimentaires, dans la grande distribution et au sein des foyers qui impliquerait un gaspillage d’eau.
Selon le rapport, cette situation équivaut à laisser couler 40 milliards de litres d’eau directement dans la poubelle. Aux Etats-Unis, jusqu’à 30 % de la nourriture serait jetée chaque année, d’une valeur 48,3 milliards de dollars. En Europe, le taux de gaspillage serait similaire. Le rapport appelle en outre les gouvernements à mettre à l’ordre du jour de leur agenda politique une stratégie efficace d’économie d’eau, stratégie qui implique une diminution du gaspillage alimentaire.
Les experts présents lors de l’évènement ont par ailleurs émis une alerte concernant les changements climatiques qui menacent les ressources en eau de la région de l’Himalaya, source qui alimente 1,3 milliards de personnes.
Selon Mats Eriksson, responsable du programme pour la gestion de l’eau au Centre international du développement intégré des montagnes, « les glaciers de l’Himalaya reculent plus rapidement que partout ailleurs dans le monde, jusqu’à 70 mètres par an. »