Dans un article paru le 1er avril dans le bulletin Trends in Ecology and Evolution, monsieur Gordon, du Centre de résilience et de l'Institut d'environnement de Stockholm, Garry Peterson et Elena Bennett, de l'Université McGill, soutiennent que la gestion de l'eau à l'échelle planétaire s'est trop concentrée sur la composante « eau bleue » du cycle hydrologique et qu'elle néglige les modifications invisibles très importantes que l'humanité a fait subir à ce qu'on appelle l'« eau verte.»
« L'eau bleue est la partie du cycle que nous pouvons voir, comme les ruisseaux et les rivières », explique Mme Gordon. « Elle s'oppose à l'eau verte, qui est l'humidité contenue dans le sol ou l'évapotranspiration des plantes, que l'agriculture peut influencer de façon considérable.»
mercredi 2 avril 2008
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