dimanche 30 août 2009
En Bretagne, les autorités publiques bataillent contre l’algue tueuse
samedi 29 août 2009
La GRA : Le projet pharaonique de la Libye…
mercredi 26 août 2009
En Inde l’eau s’amenuise…
lundi 24 août 2009
Les stars s'engagent pour l'eau – 3
vendredi 21 août 2009
L'agonie de la mer Morte
jeudi 20 août 2009
Un guide pour les décideurs sur la question de l'eau
L'OCDE a élaboré avec ses partenaires un Guide pour l'action publique afin d'aider les gouvernements qui envisagent une participation du secteur privé aux questions liées à l'eau.
Ce guide s'articule autour des 24 Principes de l'OCDE pour la participation du secteur privé aux infrastructures, et met en exergue les particularités de chaque secteur, les aspects à prendre en considération par les pouvoirs publics, et les outils et pratiques disponibles. Ces principes sont regroupés en cinq volets :
1. Décider de la nature et des modalités d'une participation du secteur privé ;
2. Garantir un environnement institutionnel et réglementaire solide pour l'investissement dans les infrastructures ;
3. Garantir un soutien public et institutionnel pour le projet et le financement choisis ;
4. Assurer une coopération efficace entre les secteurs public et privé au service de l'intérêt général ;
5. Encourager un comportement responsable des entreprises.
Le guide formule également à l'intention des gouvernements quatre recommandations générales et une série d'orientations, ainsi que des notes sur les pratiques des pays pour aider à les appliquer.
La première recommandation générale est de préciser les objectifs fondamentaux de la fourniture de services et la contribution que peut apporter le secteur privé pour leur réalisation. Il faut pour cela définir clairement le rôle et les responsabilités des différents partenaires privés et les modalités de leur participation. Cela permet de faire en sorte que les partenariats répondent bien aux besoins locaux et que l'intérêt général soit préservé.
Deuxièmement, les pouvoirs publics devraient établir un cadre général favorable, fondé sur une réglementation de qualité et un engagement politique fort, y compris concernant la lutte contre la corruption. La répartition des rôles entre autorités responsables et les mécanismes de coordination devraient être clairement définis pour assurer l'application effective des dispositions réglementaires et contractuelles. Cela vaut dans tous les cas, que les opérateurs de l'eau soient publics ou privés.
Troisièmement, les partenariats devraient s'appuyer sur des mécanismes de responsabilité solides et comprendre des dispositions contractuelles claires et cohérentes fondées sur les résultats obtenus ; le suivi devrait reposer sur la mise en commun de l'information et la consultation des parties prenantes.
Quatrièmement, les partenaires privés devraient être encouragés par le secteur public à pérenniser le partenariat autant que possible. Les premiers devraient faire preuve de détermination et agir en toute bonne foi, promouvoir l'intégrité, communiquer avec les consommateurs et gérer efficacement les aspects sociaux et environnementaux de leurs activités. Ils devraient garder à l'esprit que leur apport influence la vie de millions de personnes.
mercredi 19 août 2009
Création d'un réseau méditéranéen de lutte contre la pollution marine.
lundi 17 août 2009
L’éolienne qui produit de l’eau potable
Marc Parent, climaticien à la tête d’Eole Water, a mis au point un système simple : l’éolienne aspire l’air du vent, dont l’énergie est utilisée faire fonctionner un système frigorifique nécessaire à la condensation de l’humidité de l’air. Les vapeurs d’eau qu’il contient se transforment ensuite en eau, qui est traitée par des filtres puis récupérée dans une cuve incorporée à l’éolienne. Le tout sans aucun rejet de CO2, contrairement à d’autres mécanismes de retraitement des eaux, comme le dessalement de l’eau de mer.
Le projet de Marc Parent est d’héliporter les éoliennes de 15 mètres de haut, à installer en une heure dans les pays nécessiteux, avec un objectif de production de 800 litres d’eau par jour. "le côté ethique est pour moi très important", précise Marc Parent.
Pour l’heure, Eole Water souhaite développer ce produit dans les pays les plus riches pur l’industrialiser et en faire ensuite bénéficier les populations qui en ont le plus besoin. Il propose trois prototypes, de 10 à 14 mètres de hauteur pour des capacités de 53 litres /24 h à 514 litres /24h. Question tarif, les prix devraient s'étaler de 9 000 euros à 25 000 euros pour la plus grande capacité.
Voir : http://www.eolewater.com/
vendredi 14 août 2009
Le Canal Sud-Nord chinois s'embourbe
jeudi 13 août 2009
L'eau au Mali
mardi 11 août 2009
Histoire belge d'eau
lundi 10 août 2009
L’Or bleu tibétain
dimanche 9 août 2009
L'eau et l'agriculture
Dans ce bref entretien, Pasquale Steduto, Chef de la division FAO Water, aborde certaines des questions qui se posent à l’approche de la date fixée pour atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement. Il traite de plusieurs thèmes, tels que le changement climatique, les conflits liés à l’eau ou encore la hausse des rendements par goutte d’eau; il examine également les défis qu’il faudra relever à l’avenir.
Voir l'entretien ici : http://www.fao.org/nr/water/index_fr.html
samedi 8 août 2009
Un exemple de préservation de la ressource : l'agriculture bio à Siwa, en Égypte
vendredi 7 août 2009
Eau: l'Irak réclame une réunion urgente avec le Syrie et la Turquie
jeudi 6 août 2009
Ouverture en Espagne de la plus grande usine de dessalement d'Europe
Eau chaude sanitaire : l'Ademe lance un appel à projets
mercredi 5 août 2009
Un pôle de compétitivité sur l'eau va être créé
Un an après sa mise en place, le comité d’orientation stratégique des éco-industries (Cosei) est en phase avec ses objectifs. Les six actions prioritaires, annoncées en décembre 2008, sont engagées.
La première tranche des appels à projets, pour un montant de 10 millions d’euros, est finalisée. En revanche, les membres du Cosei, dressant un bilan des actions engagées dans les pôles de compétitivité, ont remarqué des redondances, et des manques. « Ainsi, de nouveaux pôles de compétitivité sur la thématique de l’eau et des éco-technologies seront créés. Et pour les thématiques réparties sur plusieurs pôles, à l’instar du bâtiment, une tête de réseau sera désignée pour coordonner les différentes actions », détaille Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie. Autre tâche pour le Cosei : « devenir une structure opérationnelle. Les membres du comité vont nous faire des propositions en ce sens fin septembre », annonce Christian Estrosi, ministre de l’Industrie.
Par ailleurs, la liste des 50 projets retenus dans la première tranche des appels à projets porte principalement sur des thématiques de traitement des pollutions : dépollution des sols et des nappes phréatiques, recyclage, traitement des eaux et valorisation. Pour le second appel à projet, Chantal Jouanno souhaite qu’il porte plus sur la prévention des pollutions que sur leur traitement.