tag:blogger.com,1999:blog-70168788480193859082024-03-13T21:36:14.221+01:00Informations sur l'eau dans le mondeAccès à l'eau, traitement de l'eau, recyclage des eaux usées, pollution de l'eau, gépolitique de l'eau, eau potable, gestion de l'eau...Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.comBlogger727125tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-53995969059838637972011-04-08T20:25:00.001+02:002011-04-08T20:27:55.673+02:00Des souches de la "super-bactérie" retrouvées dans l'eau à New Delhi<div align="justify">Des souches de bactérie de type NDM-1 résistante aux antibiotiques, considérées comme une bombe à retardement par les experts, ont été retrouvées dans de l'eau à New Delhi, révèlent dans une étude publiée jeudi des médecins de l'université britannique de Cardiff. Selon cette étude publiée dans la revue britannique The Lancet, ces agents pathogènes connus comme le "New Delhi métallo-beta-lactamase" (NDM-1) ont été retrouvés dans 51 échantillons d'eau sur 171 prélevés dans des rigoles et dans deux échantillons sur 50 issus de l'eau du robinet. Ces échantillons positifs, identifiés pour la première fois en 2009, ont été prélevés dans le quartier administratif et commercial de Connaught Place ainsi que dans la zone touristique et populaire du Fort rouge, à Delhi. </div><br /><div align="justify"></div><br /><div align="justify">"Une surveillance internationale sur la résistance, incorporant des prélèvements de l'environnement et un examen clinique doit être mise en place en priorité", estime dans son étude l'équipe de médecins. L'équipe plaide aussi pour des mesures urgentes pour empêcher la propagation de ces germes rebaptisés "super-bactéries" dans les médias, car le gène NDM-1 qui leur confère cette super-capacité à résister aux antibiotiques a été repéré dans plusieurs espèces de bactéries totalement différentes. Selon Mohammed Shahid, de l'hôpital Jawaharlal Nehru dans l'État indien de l'Uttar Pradesh (nord), cité dans l'étude, l'hypothèse d'une large propagation sur le plan mondial de la "super-bactérie" est "réelle et ne devrait pas être ignorée". Les chercheurs ont mené cette étude en septembre et octobre 2010, peu après des mises en garde lancées par des chercheurs, inquiets de voir le NDM-1 s'étendre rapidement via des étrangers venant se faire opérer à moindre coût dans des hôpitaux indiens. </div><br /><div align="justify"></div><br /><div align="justify">Selon les chercheurs, la présence de NDM-1 a "des implications importantes" pour les habitants de New Delhi qui dépendent uniquement de l'eau publique. Elle représente plus largement une menace pour les 650 millions d'Indiens qui n'ont pas accès à une eau propre. "De façon préoccupante", ce gène de résistance NDM-1 s'est diffusé à des espèces de bactéries pathogènes responsables non seulement de la dysenterie, mais aussi du choléra, selon l'étude. L'étude montre que ces souches résistantes ne sont pas uniquement présentes dans les hôpitaux indiens, mais également répandues dans l'environnement. </div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com24tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-48766251974175552522011-03-30T20:17:00.000+02:002011-04-08T20:19:57.541+02:00Kenya : La vie de milliers de personnes menacée par la sécheresse<div align="justify">« Pénurie alimentaire, augmentation des prix, manque d'eau et de récolte, migrations, conflits, faim et morts » : telles sont les conséquences de la situation de sècheresse qui affecte depuis des mois plus de 2 millions de personnes au Kenya, dont un certain nombre de diocèses catholiques du pays, selon les évêques qui appellent à une aide alimentaire d'urgence par l'intermédiaire du Service d'information catholique pour l'Afrique (CISA). « Les plus affectés sont les éleveurs du nord et les familles paysannes des plaines côtières et du sud-est du pays », précisent les évêques qui invitent les catholiques à une grand initiative de solidarité en faisant des dons financiers « dans les escales, les paroisses, les diocèses et toute autre structure de l'Eglise », rapporte le CISA. L'appel des évêques, signé par l'archevêque de Nairobi, le cardinal John Njue, est adressé à tous les archevêques, supérieurs religieux, associations de fraternité, ainsi qu'à la Conférence épiscopale nationale, au secrétariat catholique, aux commissions et institutions de l'Eglise catholique du Kenya pour une large diffusion. « Nous sommes profondément préoccupés par cette situation, et par la souffrance des nombreux Kenyans, à la suite de cette sécheresse », souligne le cardinal Njue qui craint une perte des moyens de subsistance pour de nombreuses communautés.</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-10136646876196418312011-03-23T20:20:00.002+01:002011-04-08T20:24:54.632+02:00La Journée de l'eau d'Hugo Chavez<div align="justify">Le président vénézuélien Hugo Chavez a fait des déclarations une nouvelle fois surprenantes, hier, à l'occasion de la journée mondiale de l'eau. Il affirme qu'il y a eu une civilisation sur Mars, et qu'elle a été détruite par l'arrivée du capitalisme. Le président du Vénézuéla n'est jamais avare en théories abracadabrantesques. Il l'a prouvé hier encore lors d'un discours à l'occasion de la journée mondiale de l'eau, comme le rapporte clarin.com. L'homme est persuadé de deux choses : il y a eu une civilisation sur la planète Mars (et à vrai dire, il n'existe pas de preuves scientifiques permettant de confirmer ou d'infirmer ses dires), et il se pourrait bien qu'elle ait été détruite par l'arrivée du capitalisme. </div><br /><div align="justify"></div><br /><div align="justify"><strong>"On avait des fleuves, aujourd'hui ce sont des déserts"</strong></div><br /><div align="justify">"J'ai toujours dit, et entendu, qu'il ne serait pas étrange qu'il y ait eu une civilisation sur Mars, mais que peut-être le capitalisme est arrivé, l'impérialisme est arrivé et c'en était fini de cette planète", a-t-il expliqué. Et, pas avare non plus en explications, il précise : "Attention, attention, regardez comme ici sur la planète Terre, où il y a des centaines d'années ou moins on avait de grands bois, aujourd'hui ce sont des déserts. On avait des fleuves, aujourd'hui ce sont des déserts." </div><br /><div align="justify"></div><br /><div align="justify"><strong>Al-Qaïda et exhumation de Bolivar...</strong> Chavez surprend toujours. Outre ses déclarations sur Al-Qaïda, dont il ne croit guère à l'existence, car, affirmait-il à un chroniqueur de Slate : "Je ne sais rien d’Oussama Ben Laden qui n’ait pas été passé au filtre de la propagande de l’Occident", l'homme aurait, selon ce même chroniqueur, présidé le 16 juillet 2010, à une "cérémonie" d'exhumation du cadavre de Simon Bolivar, figure de la révolte de l'Amérique latine contre l'Espagne au XIXe siècle, mort en 1830. Objectif ? Prouver que cet homme, dont le président vénézuélien se réclame, est mort par empoisement... </div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-22033972859848917902011-03-15T21:50:00.002+01:002011-03-15T21:59:47.148+01:00Séisme au Japon: Tepco envisage de verser de l'eau par hélicoptère dans le réacteur 4<div style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold; ">La compagnie d'électricité japonaise Tepco, qui exploite la centrale de Fukushima 1, a annoncé mardi qu'elle envisageait de verser de l'eau par hélicoptère dans une piscine du réacteur 4 pour refroidir du combustible nucléaire usé. Dérisoire ?</span></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Lors d'une conférence de presse, les responsables de Tokyo Electric Power ont expliqué qu'ils étudiaient cette solution, qui ressemble beaucoup à une action désespérée, faute de pouvoir employer les moyens habituels de refroidissement, tombés en panne à cause du séisme et du tsunami qui ont dévasté la région nord-est où se situe la centrale. "Même usé, du combustible nucléaire doit continuer d'être immergé", a précisé Olivier Isnard, expert de l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire. Ce réacteur 4, l'un des six de la centrale Fukushima 1, a subi ce mardi une explosion suivie d'un incendie. Il était à l'arrêt pour maintenance au moment du puissant séisme de vendredi, mais contient encore des barres de combustible radioactif qui présentent un danger si elle restent hors de l'eau. Ces dernières se trouvent dans une piscine de refroidissement spéciale, située dans l'enceinte de confinement, au-dessus du coeur du réacteur.</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-7717402225145583642011-03-05T11:29:00.001+01:002011-03-05T11:32:16.770+01:001001 fontaines pour demain<iframe title="YouTube video player" width="360" height="300" src="http://www.youtube.com/embed/jnZW9GviMWk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-41791817915597423052011-03-01T11:20:00.000+01:002011-03-05T11:23:02.433+01:00Justin BIeber : Charity Water s’est trouvé un allié de poids<div style="text-align: justify;">Les artistes américains nous ont habitué a des approches philanthropiques parfois originales, et souvent commandées par des problématqiues d’image (on pense notamment à Beyonce et Nelly Furtado, forcées de réagir suite aux événements en Lybie) .<br />Dernièrement, c’est <a href="http://www.news-de-stars.com/justin-bieber/justin-bieber-un-anniversaire-caritatif_art45301.html">Justin Bieber qui a annoncé une initiative originale</a> : pour ses 17 ans, il demande à ses fans de faire un don à une association, « <a href="http://www.charitywater.org/">Charity Water</a> », une ONG à but non lucratif qui s’efforce d’apporter l’eau potable dans les pays en voie de développement.<br />Bieber demande donc à ses fans, via sa page personnelle de collecte de dons, d’envoyer « 17 dollars pour [son] 17ème anniversaire. Il précise à ses fans : « Saviez-vous qu’environ 4500 enfants meurent chaque jour de maladies d’origine hydriques. En menant des projets d’eau potable dans les villages qui en ont besoin, nous pouvons éviter ce genre de désastre. »<br />La jeune star avait fixé un objectif de 17 000 dollars, qui serait d’ores et déjà largement dépassé.<br />A noter par ailleurs que l’association Charity Water proposait déjà, sur son site, <a href="http://mycharitywater.org/p/signin">une application permettant au grand public de s’impliquer dans le fund raising</a> en faveur de l’accès à l’eau dans les PVD.<br /></div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-55813476061851347322011-02-28T11:35:00.001+01:002011-03-05T11:45:13.484+01:00Water Makes Money : le documentaire sur l’eau<div style="text-align: justify;">Jeudi 3 février, à la Marie de Paris, on pouvait voir an avant-première <a href="http://television.telerama.fr/television/un-documentaire-denonce-le-scandale-de-l-eau-a-prix-d-or,65356.php">le documentaire “Water Makes Money”</a>. Cette enquête militante de <a href="http://www.watermakesmoney.com/fr/le-film/dramaturgie-du-film-.html">Leslie Franke et Herdolor Lorenz</a> dénonce la gestion de l'approvisionnement en eau par les trois acteurs privés qui se partagent l'essentiel du marché en France.<br />Le film est prévu pour une diffusion nationale sur Arte, le 22 mars prochain, et devrait faire couler beaucoup d’encre.<br />D’ici-là, quelques extraits sont déjà disponibles sur les sites de partage :<br /><br /><div style="text-align: center;"><iframe title="YouTube video player" src="http://www.youtube.com/embed/jNRDIc1VHqo" allowfullscreen="" frameborder="0" height="200" width="320"></iframe><br /></div><br />On pourra regretter le focus très « franco-français » de ce film, qui aurait profité d’un élargissement de ses perspectives.</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-84541012077428907602011-02-26T11:24:00.002+01:002011-03-05T11:28:28.533+01:00Nous comptons sur les banques<div style="text-align: justify;">Le blog d’Emery, « Choses vues », nous alerte cette semaine sur une nouvelle initiative en faveur de l’eau : « Nous comptons sur les banques ».<br />Derrière ce titre (<a href="http://www.nouscomptonssurlesbanques.com/">et le site éponyme</a>) un peu provocateur, se cache une initiative de l’association « <a href="http://www.1001fontaines.com/">1001 fontaines</a> », que nos lecteurs connaissent bien, et qui souhaite mobiliser les acteurs financiers sur des questions d’accès à l’eau.<br />La solution développée par 1001 Fontaines est décrite sur le site : « Sans attendre un avenir meilleur, « 1001 fontaines pour demain » propose une solution simple permettant aux petites communautés isolées de produire au minimum leur eau de boisson en potabilisant par eux-mêmes la ressource à portée de main, le plus souvent l’eau de surface. Avec environ 2 litres par personne et par jour, on limite significativement les maladies d’origine hydrique dont ces populations souffrent et qui sont, en particulier, responsables d’un taux de mortalité infantile proche de 20%. »<br />A ce jour, les banques n’ont toujours rien donné, comme l’indique le compteur mis en place sur le site de l’opération. A comparer au compteur du Téléthon qui renvoie, lui, à la générosité des particuliers…<br />Une vidéo est disponible :<br /><iframe title="YouTube video player" width="320" height="200" src="http://www.youtube.com/embed/_IVYI9_bBqI" frameborder="0"></iframe><br /></div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-59588925692924996812011-02-21T10:50:00.004+01:002011-02-21T11:01:48.433+01:00Des bouteilles d'eau Apple ?<div style="text-align: justify;"><br /></div><img style="text-align: justify;display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; cursor: pointer; width: 320px; height: 312px; " src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCbYGuBf1A054Ehrcf6zVgKy9XuBOs8Gt0G6YP5rkbHe2tNNgKpSMoFnPac5rUslf8Dq9i6gjwOPHko7tfWyMqj-YABn2U7hmOKashY0M4h5QNsHSER6VjjlfGgNMbL1ecmDOxPJjCeR0/s320/ukJ0I3.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576080430049838162" /><div style="text-align: justify;"><br /></div><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><div style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: Georgia, serif; "><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Le très inventif site </span></span><a href="http://scoopertino.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">Scoopertino</span></span></a><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size:medium;">, spécialisé dans les faux scoops concernant la marque Apple, a imaginé que la marque à la pomme se préparait à lancer un nouveau produit révolutionnaire : la bouteille d'eau, avec ce slo</span><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">gan hilarant : </span></span><span class="Apple-style-span" style="line-height: 19px; "><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">« </span></span><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Water : Clean. Simple. Wet.</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> » (« </span></span><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">L’Eau : Propre. Simple. Mouillé »)</span></span></span></span></div></span><div style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="line-height: 19px; "><span class="Apple-style-span" style="font-family: Arial, sans-serif; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">La présentation du produit sur le site Internet est</span><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> semblable à</span><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> celles des</span><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> iPad, MacBook, et autres iPhone.</span></span></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="line-height: 19px; "><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;">Joli clin d'œil aux minéraliers</span></span></span><span class="Apple-style-span" style=" line-height: 19px; font-family:arial;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: medium;"> de tous poils </span></span><span class="Apple-style-span" style=" line-height: 19px; font-family:arial;font-size:medium;">et à leur marketing !</span></div><div><div style="text-align: justify;"><br /></div></div><img style="text-align: justify;display: block; margin-top: 0px; margin-right: auto; margin-bottom: 10px; margin-left: auto; cursor: pointer; width: 320px; height: 145px; " src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBHDZf1zy0uopysoKYOla_NWwX89DMbmfERIq0DcD0_x9FK8O6EyJHMUCul_VQv3m6I19wG8KQbfnNA9Jcf3kWa703pmLoycZlpxHjHsL3iOrOGhSWYYbtpTR1VgaT950P31gLFMi-zQA/s320/panel_water.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576080306485764146" /><div style="text-align: justify;"><br /></div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-22547321665799623692010-12-09T01:35:00.000+01:002010-12-09T01:35:00.323+01:00Etats-Unis : les rivières s’assèchent<div style="text-align: justify;">La quantité d'eau qui coule dans les rivières aux Etats-Unis a été considérablement réduite dans près de 90 % des cours d’eau évalués, contribuant à la dégradation des écosystèmes et la perte des espèces, selon une étude de l’Institut de géologie américain (USGS).</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Cette évaluation est la plus vaste réalisée à ce jour sur la modification du débit des cours d’eau », a déclaré Bill Werkheiser, directeur associé sur l'eau à l’USGS. « Les résultats montrent l'altération du débit résultant de l’aménagement des sols et des cours d’eau, l'impact significatif sur les organismes aquatiques, et la nécessité de considérer ce facteur pour maintenir et rétablir la santé des cours d'eau et des écosystèmes de la nation. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les flux sont modifiés par une variété d'aménagements et d’activités humaines comme les réservoirs, les détournements, les drains souterrains, les prélèvements d'eau souterraine, le rejet des eaux usées, et les surfaces imperméables (parkings et routes).</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« L’altération des flux des rivières entraîne la perte de poissons et d'invertébrés indigènes dont la survie et la reproduction sont étroitement liées à des conditions d'écoulement spécifiques », a expliqué Daren Carlisle, écologue à l’USGS et auteur principal de l'étude. Par exemple, dans les ruisseaux à débit fortement diminué, la truite indigène, appréciée par les pêcheurs amateurs, qui a besoin de cours d'eau rapides, est remplacée par des espèces non indigènes et moins désirables, comme la carpe.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Des études ciblées dans des régions géographiques spécifiques permettront de mieux comprendre les effets écologiques des débits modifiés, afin de trouver une solution efficace aux problèmes locaux de gestion de l'eau », a ajouté Daren Carlisle.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">L'étude a identifié plus de 1.000 cours d'eau intacts utilisés comme points de référence pour créer des modèles de flux de courant. Les modèles ont été appliqués pour estimer les flux de 2.888 autres cours d'eau pour lesquels l’USGS disposait de données de surveillance de 1980 à 2007. Les valeurs estimées ont ensuite été comparées aux débits réels mesurés pour déterminer le degré d’altération des débits.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : Journal de l’environnement</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-12992319167479095932010-12-08T01:29:00.000+01:002010-12-08T01:29:00.669+01:00De l'eau de plus en plus écolo ?<div style="text-align: justify;">Depuis le début de l'année, une drôle de petite camionnette rose sillonne les rues du XVe arrondissement de Paris. Evian, géant mondial de l'eau en bouteille, y teste sa nouvelle stratégie marketing : la livraison gratuite à domicile.</div><div style="text-align: justify;">La campagne de promotion Evian chez vous arrive au moment où l'entreprise tente de retrouver le terrain perdu au moment de la crise. Et pour cause : les Français, grands consommateurs d'eau en bouteille (plus de 100 litres par personne et par an), modèrent leur consommation.</div><div style="text-align: justify;">Avec la baisse du pouvoir d'achat, l'or bleu en bouteille a perdu de son lustre. La chute des ventes -près de 20% entre 2006 et 2009- a fait mal aux grands joueurs de cette industrie comme Danone (Evian, Badoit, Volvic), Neptune (Cristaline, Saint-Yorre, Thonon) et Nestlé Waters (Vittel, Perrier).</div><div style="text-align: justify;">Ce n'est pas d'hier que les embouteilleurs se drapent de vert. Mais cette fois, ils en remettent une couche. Le nouveau service d'Evian ne veut pas seulement vous faciliter la vie. Il se veut aussi « plus écologique ».</div><div style="text-align: justify;">L'entreprise fait valoir que l'eau, acheminée en train jusqu'à Paris, est ensuite transportée vers l'entrepôt par un camion hybride ou fonctionnant au gaz. De petits véhicules électriques prennent ensuite le relais, jusqu'à chez vous.</div><div style="text-align: justify;">Si ce service se limite pour l'instant au seul arrondissement parisien, Evian compte étendre ce service au reste de la capitale, puis à la France entière.</div><div style="text-align: justify;">Cette nouvelle initiative « verte » ne convainc pas du tout les écologistes, dont Nathalie Villermet de France nature environnement, qui souligne que l'eau du robinet est déjà acheminée jusqu'au domicile :</div><div style="text-align: justify;">« Même si c'est transporté par camion ou par train, c'est évident que l'absence de transport est plus écologique. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Elle applique cette même logique à la production des bouteilles :</div><div style="text-align: justify;">« Une bouteille qui n'est pas produite aura toujours moins d'impact. Le recyclage, c'est intéressant parce que l'on récupère de la matière, mais cela a un coût pour l'environnement, car ça consomme de l'énergie.</div><div style="text-align: justify;">Nous, ce que nous demandons, c'est de réduire la production de déchets. Et pour cela, le mieux c'est de boire de l'eau du robinet. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Pour des raisons similaires, le gouvernement milite aussi pour une plus grande consommation d'eau du robinet. Dans l'une de ses brochures de prévention de la pollution, le ministère de l'Ecologie note :</div><div style="text-align: justify;">« L'eau du robinet est disponible sans emballage. Par rapport à l'eau embouteillée, cela permet d'économiser environ 10 kg de déchets par an et par personne. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">La carte de la santé</div><div style="text-align: justify;">Les embouteilleurs jouent aussi la carte de la santé. Depuis un an, Evian et Vittel ont lancé des campagnes publicitaires vantant les saines propriétés de leur produit.</div><div style="text-align: justify;">Avec son slogan « Evian. Vivons jeune », l'entreprise associe son produit à la jeunesse éternelle, véritable fontaine de Jouvence.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« On agit sur tout ce que l'on peut agir pour consolider notre légitimité dans l'esprit des consommateurs », explique M. Manichon. « Il s'agit de remettre l'église au centre du village et de dire ce qu'on est ».</div><div style="text-align: justify;">Pour Vittel, cela veut dire une eau de source naturelle aux propriétés médicales reconnues et qui ne subit aucun traitement chimique. Un liquide, presque magique.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">France nature environnement, qui a porté plainte contre Cristaline (Neptune) devant l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) pour qu'elle cesse de « dénigrer » l'eau du robinet dans un jeu pour enfant, estime que l'eau des villes est de bonne qualité :</div><div style="text-align: justify;">« C'est vrai que nos cours d'eau sont mis à mal à cause de l'activité agricole et industrielle. Par contre, des sommes gigantesques sont dépensées pour avoir de l'eau potable au robinet. Une eau qui est beaucoup plus contrôlée que l'eau en bouteille. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">En plus des écologistes, des grandes villes comme Paris et Lyon font campagne pour l'eau municipale. Une eau publique qui coûte de « 100 à 300 fois moins cher que l'eau en bouteille », rappelle le ministère de l'Ecologie.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : ecorue89</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-28852933246263384122010-12-07T01:27:00.000+01:002010-12-07T01:27:00.327+01:00Nouveau procédé pour une usine de dessalement en Tunisie<div style="text-align: justify;">La nouvelle usine de dessalement de Djederia, qui doit approvisionner le dispensaire de ce petit village, va fonctionner selon une technique jamais vue encore, élaborée par le professeur Joachim Koschikiwdki. Il s’agit d’utiliser l’énergie solaire pour filtrer l’eau de mer à travers une membrane de distillation en décomposant la molécule d’eau.</div><div style="text-align: justify;">Ce projet de 7 millions d’euros, appelé Mediras (Membrane Distillation In Reote Areas) qui permettra de fournir plus de 200 litres d’eau par jour a mis en lien de très nombreux acteurs financiers et universitaires.</div><div style="text-align: justify;">C’est ainsi que se côtoient côté finances : l’important soutien logistique du Ministère de la Santé Publique, l’aide financière de la communauté européenne, le Rotary Club Les Berges du Lac, ainsi que des sociétés tunisiennes : Sines et Solar23, spécialisées dans l’énergie solaire. De plus, pour réussir une telle prouesse technologique, de nombreux chercheurs et universités ont mis leurs compétences en commun : l’université de Palerme, l’institut technologique des Canaries, l’université de Calabre, sans oublier des chercheurs industriels allemands.</div><div style="text-align: justify;">L’innovation de ce procédé donne l’occasion d’organiser des journées d’études autour des énergies renouvelables en compagnie des plus grands chercheurs de la planète.</div><div style="text-align: justify;">Les énergies renouvelables ont déjà été utilisées pour dessaler l’eau de mer, notamment l’énergie éolienne.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : Tunisiait</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-58085269691557456472010-12-05T01:24:00.000+01:002010-12-05T01:24:00.284+01:00Le pompage excessif de l’eau augmente le niveau de la mer<div style="text-align: justify;">Selon les estimations d’une nouvelle étude réalisée par une équipe de chercheurs néerlandais et publié dans Geophysical Review Letters, « dans le monde, le pompage excessif des eaux souterraines, en particulier dans le Nord de l'Inde, l'Iran, le Mexique, la Chine et le Nord-ouest américain, a plus que doublé entre 1960 et 2000 et est responsable d'environ 25% de la hausse actuelle du niveau de la mer. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">L'idée générale est que les eaux souterraines utilisées pour l'irrigation s’écoulent dans les cours d'eau reliés aux océans ou que leur évaporation dans les nuages finis par la pluie dans l’océan.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Cette étude, menée par une équipe de chercheurs basée à l'Université d'Utrecht et de l'International Groundwater Resources Assessment Centersouterraines à Utrecht aux Pays-Bas, donne à penser «à la fois l’ampleur et la gravité du phénomène »: elle estime que l’épuisement des eaux souterraines à travers le monde est passé de 29,5 millions de m3 en 1960 à 55 millionsde m3 en 2000.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ce volume représente 15 fois la quantité d'eau utilisée chaque année par tous les utilisateurs de la rivière Colorado, aux Etats-Unis, des villes de Los Angeles, Phoenix et Las Vegas, des fermes de Californie et dans les déserts d’Arizona, qui produisent la plupart des fruits et légumes de ce pays.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ce que cette nouvelle étude suggère, c’est que « l'épuisement des eaux souterraines est un problème mondial. Maintenant, nous avons à craindre qu’il contribue aussi à l'élévation du niveau de la mer et cela change l'échelle du problème à laquelle nous n'avions pas pensé avant. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Selon le directeur du think tank environnementaliste californien, Peter Gleick, « il y a une prise de conscience de la gravité du problème du pompage excessif des eaux souterraines, mais je pense que ça va prendre plus de temps pour réveiller nos politiques, parce que nous sommes extrêmement dépendants de cette source non durable de l’eau », ajoutant : « 40% de nos prélèvements d'eaux souterraines proviennent de sources non durables de l'eau. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : Green blog du New York Times.com</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-65726905010687687172010-12-04T01:26:00.000+01:002010-12-04T01:26:00.213+01:00Une allocation de solidarité pour l'eau proposée par le député André Flajolet<div style="text-align: justify;">Une proposition de loi visant à créer une allocation de solidarité pour l'eau sera présentée par le député UMP André Flajolet, en tant que président du Conseil national pour l'eau, à ses collègues parlementaires. Elle sera votée à l'Assemblée nationale fin novembre. Interview réalisé par La Voix du Nord.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Cette loi, est-ce une solution pour régler les factures impayées d'eau ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Aujourd'hui, les factures impayées d'eau, relevant de compteurs collectifs, font partie des charges globales et sont prises en charge par les Fonds de solidarité logements gérés par les conseils généraux. C'est une réponse nécessaire pour les situations les plus complexes ou les accidents de la vie mais cela ne permet pas d'assurer une mise en oeuvre complète et équitable de ce droit d'accès à l'eau au niveau national. Depuis la proposition de loi du sénateur Cambon adoptée en février 2010, les services d'eau et d'assainissement peuvent participer, selon leur bon vouloir, à ces fonds de solidarité.</div><div style="text-align: justify;">C'est une avancée mais ça ne répond pas pleinement aux difficultés et aux attentes des abonnés en situation de précarité et des services désireux de voir se mettre en place un dispositif complémentaire basé sur une aide dite préventive. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">L'objectif de cette allocation est donc préventif ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« La solidarité auprès des plus démunis prend une forme préventive en effet en limitant le poids de la facture d'eau, évaluée pour le foyer en fonction de sa composition et de son lieu de résidence, à 3 % de ses revenus réels. Le surplus étant réglé par la totalité des gens qui ont quelques moyens. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Quel en serait le financement ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Il serait assuré par la création d'une taxe, dénommée contribution au service de l'eau, prélevée sur les redevances perçues par les services d'eau et d'assainissement, à l'exception des redevances perçues au titre des missions de contrôle, d'entretien ou de réhabilitation de l'assainissement non collectif. Autrement dit, un prélèvement sur les factures d'eau dans une limite maximum de 0,5 %. Ce qui pourrait représenter 50 millions d'euros. Les opérateurs seraient coparticipants, selon un principe d'égalité. Tous, alors qu'aujourd'hui, c'est selon leur bon vouloir. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Qui gérerait cette nouvelle allocation ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« L'un des opérateurs potentiels, c'est la Caisse d'allocations familiales mais elle n'est pas très ouverte à notre proposition. On proposera donc aux conseils généraux de gérer cette allocation. Ils ont les services pour le faire et cela fait partie de leurs missions. Il s'agit de ne surtout pas créer une nouvelle administration. Le principe de délégation aux intercommunalités pourra être adapté quand elles ont pris cette compétence. Il faut une gestion au plus près des territoires. Et ne pas oublier l'acte éducatif auprès des familles en expliquant que l'eau, c'est un bien. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Sur la facture que recevront les plus démunis, le prix de la consommation réelle apparaîtra-t-il ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Oui, surtout. Le montant réel et le montant qu'ils paieront, soit 3 % de leurs revenus réels. Avoir conscience du coût, c'est déjà être capable d'économiser. La gratuit, c'est la perte de valeurs. Il faut allier solidarité et responsabilité. Un type qui touche la CMU et le minimum vital doit être capable de rendre 10 E pour participer à la couverture du 5e risque (couverture du risque lié à la dépendance des personnes âgées et handicapées) parce que, peut-être, que demain, il en sera utilisateur. Et quand ils reviendront à une meilleure situation financière, ils paieront leur facture réelle. »</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Les aides curatives d'aide aux impayés existeront-elles toujours ?</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">« Bien sûr, ce système préventif est complémentaire des mesures curatives qui continueront à exister. » On ne s'attend pas forcément à ce qu'une allocation de solidarité soit proposée par un député de droite...</div><div style="text-align: justify;">C'est au titre de président du Comité national de l'eau que je la présente. Un an de travail, une dizaine de réunions techniques, un soutien sans faille de Chantal Jouant, secrétaire d'État à l'Écologie.</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-48246206239460420002010-12-02T01:23:00.000+01:002010-12-02T01:23:00.538+01:00Le lac Tchad, source de conflits pour l'accès aux ressources<div style="text-align: justify;">L'assèchement du lac génère des conflits frontaliers et pourrait entraîner d'importantes migrations...</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">«Sauver le lac Tchad» : une priorité pour les chefs d’Etat africains réunis lors de la session Afrique du 8ème Forum mondial du développement durable à N’Djamena, dont la sauvegarde du lac était le thème. Le 31 octobre, en clôture de cette réunion, la Libye, le Sénégal, la Centrafrique, le Tchad et le Nigeria se sont engagés à sauvegarder le lac Tchad, dont la surface est passée de 25.000km2 en 1960 à 8.000 km2, voire 2.500km2 selon les estimations.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">Le lac Tchad au patrimoine mondial de l’humanité</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Pour protéger le lac Tchad de l’assèchement, une série de propositions a été adoptée par consensus entre les chefs d’Etat. Ils prévoient notamment le classement du lac au patrimoine mondial de l’humanité: «Si on y arrive, cela permettra de réparer une injustice, et le lac Tchad sera respecté avec des droits et des devoirs pour l’ensemble des pays riverains», a expliqué Emile Malet, délégué général du forum.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Une autorité pourrait également être mise en place pour contenir les conflits entre migrants et populations autochtones autour du lac. Situé à cheval sur quatre pays (Nigeria, Niger, Tchad et Cameroun), le lac cristallise les tensions. Avec son assèchement, des terres humides ont été rendues disponibles pour la culture et l’élevage, suscitant l’arrivée massive de paysans dans la zone camerounaise du lac. Une trentaine de villages ont ainsi été créés par des Nigérians au Cameroun, allant jusqu’à créer une zone totalement contrôlée par le Nigeria sur les terres camerounaises où les différends frontaliers se multiplient.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span style="font-style:italic;"><div style="text-align: justify;">La Libye plaide pour la sauvegarde du lac</div></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">La Libye voisine regarde de près ce qui se passe au Tchad. Malgré le retrait de l’armée libyenne du Nord du pays ordonné par la cour internationale de justice de La Haye en 1994, le colonel Kadhafi garde un œil sur la région, riche en uranium et possédant quelques réserves pétrolières. Il a ainsi averti l'Europe qu’elle ferait face à trente millions d'Africains cherchant à gagner ses rives si rien n'est fait pour enrayer les changements climatiques et empêcher l'assèchement complet du lac Tchad, «poumon hydrique» de l'Afrique.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Présent au sommet de la Commission du bassin du lac Tchad, Mouamar Kadhafi a ajouté que la pauvreté dans la région jetait les Africains dans les bras de groupes radicaux islamistes s'en prenant aux intérêts occidentaux. «Les gens participent à des actions terroristes parce qu'ils sont dans le besoin et parce qu'ils sont pauvres», a estimé le leader libyen. «Ces gens-là resteraient chez eux et auraient de l'espoir s'il avait des projets de développement».</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les scientifiques imputent aux changements climatiques, ajoutés aux pressions démographiques et à la construction de barrages, le tarissement du lac, jadis le plus grand du continent et qui fait vivre une trentaine de millions de personnes habitant les pays environnants.</div> <div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : 20 Minutes.fr</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-51815699321658076872010-12-01T01:22:00.000+01:002010-12-01T01:22:00.589+01:00Dix millions de Russes n'ont pas accès à l'eau potable<div style="text-align: justify;">Le chef des services sanitaires russes, Guennadi Onichtchenko, a assuré que dix millions de Russes n'ont pas accès à l'eau potable, un chiffre qui semble optimiste, le gouvernement ayant estimé en 2009 que la moitié des 142 millions d'habitants du pays en était privée.</div> <div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">M. Onichtchenko a relevé, lors du Forum de l'eau de Moscou, "qu'une personne sur quatorze" en Russie souffrait "d'un approvisionnement en eau ne répondant pas aux normes d'hygiène", selon l'agence Ria Novosti.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Pourtant, selon le texte du "projet de programme d'Etat +Eau propre+" publié en avril 2009 par le ministère russe du Développement économique, un Russe sur deux est privé d'un approvisionnement en eau potable.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">"Aujourd'hui, un habitant sur deux en Russie est obligé de boire une eau de qualité insuffisante et ne répondant pas à toute une série d'exigences hygiéniques et sanitaires", précise ce document.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Et "un cinquième de la population consomme de l'eau qui n'a pas bénéficié de traitements d'épuration", poursuit ce texte.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le rapport relève aussi que "les principales causes" de la mauvaise qualité de l'eau sont "l'usure" des canalisations et "des méthodes obsolètes d'épuration".</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le mauvais état des infrastructures russes est à l'origine de nombreux accidents et de problèmes de santé publique en Russie. Le président russe ,Dmitri Medvedev a fait de "la modernisation" du pays son cheval de bataille.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div> <div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : Le Parisien</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-62904097908888195852010-11-30T01:30:00.001+01:002010-11-30T01:30:00.222+01:00Algérie : deux nouvelles stations de dessalement<div style="text-align: justify;">La stratégie permettant de sécuriser des stocks d’eau semble être devenue une priorité pour l’Algérie. Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a déclaré le 1er novembre à l’Assemblée Populaire Nationale (ASN) que son département va lancer deux nouvelles stations de dessalement de l’eau potable pour achever le programme tracé avec le ministère de l’Energie et des Mines. Elles seront situées à Jijel et El Tarf.</div><div style="text-align: justify;">Sellal a exprimé sa satisfaction sur le niveau des ressources hydriques mobilisées qui devrait atteindre 9,1 milliards de m3 en 2014 – Il est aujourd’hui de 7,1 milliards de m3.</div><div style="text-align: justify;">La distribution, actuellement de 162 litres quotidiens par habitant, devrait atteindre 175 litres en 2014. Par ailleurs, les communes ayant régulièrement l’eau sont passées de 45 % en 2000 à 70 % aujourd’hui et seront à 80% d’ici 2014, selon M.Sellal.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : Algeriesoir</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-89829175782793459212010-11-29T07:12:00.003+01:002010-11-29T07:12:00.678+01:00Sud-Soudan: des nomades craignent de perdre l'accès à l'eau après le référendum<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgD99YVJCEx6GXSbFFNVzGpk0KCvHzOgMxLCW1Cs6nSKrzva8poMkryWN8AmanyARMZonkL-gfxGnzy4dMwAfSZk2IgShw7-l63CsQU06cCElGW_pPeZNyakNx8YleztB5qlayGqniq8NA/s1600/qi4rwsij.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 320px; height: 211px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgD99YVJCEx6GXSbFFNVzGpk0KCvHzOgMxLCW1Cs6nSKrzva8poMkryWN8AmanyARMZonkL-gfxGnzy4dMwAfSZk2IgShw7-l63CsQU06cCElGW_pPeZNyakNx8YleztB5qlayGqniq8NA/s320/qi4rwsij.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5544698550127394098" /></a><br /><div style="text-align: center;"><span class="Apple-style-span" style="color:#0000EE;"><u><br /></u></span></div><br /><div style="text-align: justify;">Au bout d'une piste de terre sinueuse, repose le fief miséreux des nomades arabes Misseriya qui craignent de perdre l'accès vital à l'eau de la rivière voisine en cas de rattachement de la région contestée d'Abyei au Sud-Soudan après le référendum de janvier.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Dans le hameau d'Al-Muglad s'écrit le prochain chapitre de l'histoire du le plus grand pays d'Afrique. Un chapitre peut-être sombre, car il pourrait le replonger dans le chaos à moins à l'approche du référendum d'indépendance du Sud-Soudan, prévu le même jour que celui d'Abyei, le 9 janvier 2011.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les nomades nordistes Misseriya migrent chaque année depuis plus de 200 ans lors de la saison sèche vers le Bahr al-Arab méridional - "la rivière arabe" -, en quête de pâturage pour leurs troupeaux de vaches. Puis, ils s'enfoncent dans les terres fertiles du Sud-Soudan.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Or ce cours d'eau, baptisée rivière Kiir par les sudistes, coule dans la région contestée d'Abyei, située dans le ventre du Soudan, à la lisière du Nord arabo-musulman, et du Sud, en grande partie chrétien.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Après de violents affrontements en mai 2008, qui avaient fait craindre le retour de la guerre civile Nord-Sud, les deux parties avaient confié leur différend à la Cour permanente d'arbitrage de La Haye.</div> <div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Celle-ci a réduit la taille d'Abyei au domaine historique de la tribu sudiste des Dinka Ngok, laissant le nord et l'est du secteur, doté de gisements de pétrole, au Nord-Soudan. Les politiques nordistes et sudistes avaient accepté cette décision, mais pas les Misseriya.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">"Nous ne voulons pas du pétrole, nous voulons l'eau. Nous avons cinq millions de têtes de bétails. Où vont-elles s'abreuver?" dit Mokhtar Babo Nimir, l'émir des Misseriya, lors d'un entretien dans les bureaux des services de renseignement à Al-Muglad.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Ici, l'émir est roi. La salle aux murs défraîchis est ornée des photos du président soudanais Omar el-Béchir et du père de l'émir, Babo Nimir, preuve de l'importance de l'allégeance tribale dans ce secteur.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les Misseriya, qui estiment avoir accueilli les sudistes Dinka Ngok sur les terres d'Abyei à partir de la fin du XIXe siècle, se considèrent comme les tenanciers de cette région contestée.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Or le référendum doit décider du rattachement d'Abyei au Nord ou au Sud-</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Soudan. La loi accorde le droit de vote aux Dinka Ngok et aux "autres citoyens" d'Abyei, mais ne mentionne pas les Misseriya.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">"Si je ne peux pas voter, il n'y aura pas de référendum", prévient l'émir. "Abyei ne peut pas revenir au Sud", tranche le chef Misseriya, tribu responsable de raids sanglants sur les sudistes pendant la guerre civile dans les années 1980.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Si le Sud se sépare et rafle Abyei, les Misseriya risquent de perdre à la fois l'accès au Bahr al-Arab et aux zones de pâturage du Sud.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">"Alors notre bétail mourra, et il ne nous restera plus qu'à migrer à Khartoum pour trouver un emploi ou mendier. Il est préférable de mourir que de finir ainsi", estime-t-il, vêtu d'une tunique immaculée et lunettes épaisses accrochées au visage.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Dans un autocar déglingué, des jeunes Misseriya quittent Al-Muglad pour trouver du travail à Khartoum, à 30 heures de route. "Il n'y a pas de travail à Muglad. Et je ne veux pas devenir un gardien de troupeaux, passer ma vie à suivre une vache. De toute manière je n'ai pas de vache", clame Mohamed.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Des négociations, sous l'égide des Etats-Unis, tentent de trouver un compromis pour sauver Abyei des enfers.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">"Pour l'instant (au début de la saison sèche) nous n'avons pas de problèmes d'eau et de pâturage. Mais si les négociations échouent, nous ne pouvons pas encore dire ce qui adviendra", dit l'émir.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div> <div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">AFP</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-88190175994248172402010-11-28T07:15:00.003+01:002010-11-28T21:41:47.506+01:00Inondations au Bhoutan<div style="text-align: justify;">Les changements climatiques qui sont à l'origine de la fonte des glaces polaires, menacent de faire disparaître les petites îles, et provoquent des sécheresses dévastatrices. Un autre effet des changements climatiques -- que l'on appelle parfois le 'tsunami venu du ciel' -- menace la petite nation himalayenne du Bhoutan.</div><br /><object width="360" height="190"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/NlWMr1ybzWc?fs=1&hl=fr_FR"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/NlWMr1ybzWc?fs=1&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="360" height="290"></embed></object>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-6928125911512033062010-11-26T05:54:00.000+01:002010-11-26T05:54:01.050+01:00De l'eau dessalée pour sauver Jakarta<div style="text-align: justify;">Tandis que la capitale indonésienne s'enfonce chaque année de 25 à 30 centimètres en raison de la surexploitation des nappes phréatiques, un hydrogéologue de l'institut technique de Bandung, Lambok M Hutasoit, a une solution : le dessalement d'eau de la mer à grande échelle, lit-on dans le quotidien Kompas. Une étude de son laboratoire montre que, déjà à la fin des années 1990, seuls 5 % des puits artésiens de Jakarta possédaient un permis de forage. Aujourd'hui, l'entreprise Pembangunan Jaya Ancol est en train de développer une centrale capable de traiter 5 000 mètres cubes d'eau de mer par jour pour un coût de 9 000 roupies [80 centimes d'euro] le mètre cube, soit un tarif moins élevé que l'eau douce vendue aujourd'hui aux industries de Jakarta entre 12 000 et 15 000 roupies le mètre cube.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source : <a href="http://cetak.kompas.com/read/2010/09/29/02540450/jakarta.perlu.ubah.manajemen.air">Kompass</a></div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-22400085578828333292010-11-24T08:52:00.001+01:002010-11-24T08:52:00.145+01:00Tunisie : Mobilisation de 95% des ressources hydriques disponibles à l’horizon 2014<div style="text-align: justify;">Les pas franchis quant à la mise en oeuvre des composantes du 12e Plan de développement (2010-2014) en matière de mobilisation des ressources hydriques, d’économie de l'eau potable et d'irrigation, ainsi que d’élaboration de l'étude technique ordonnée par le Chef de l'Etat pour assurer les équilibres du pays en eaux en 2050, ont été passés sous la loupe, lundi 18 octobre à Tunis, lors d’une entrevue tuniso-européenne.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">En présence d'experts représentant la Banque mondiale (BM), la Banque africaine de développement (BAD) et l'Agence française de développement (AFD), la rencontre a regroupé M. Abdessalem Mansour, ministre de l'Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche et une délégation européenne conduite par l'Ambassadeur de l'Union européenne (UE) à Tunis.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Passant en revue les réalisations et les ambitions de la politique tunisienne, en matière de l’eau, au cours des deux dernières décennies, le ministre a mis en lumière les efforts déployés en Tunisie sur la voie de la préservation des ressources naturelles et la mobilisation des ressources hydriques.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Une mobilisation qui devrait toucher, à l’horizon 2014, les 95% des ressources hydriques disponibles.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Force est de savoir dans ce sens que la prochaine étape sera marquée par le déclenchement d’un plan de transfert des eaux du nord vers le centre du pays. Un plan qui fait partie intégrante des composantes à court terme de l’étude sur la sécurité hydrique à l'horizon 2050.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Laquelle porte également sur l’amélioration de la qualité de l'eau potable du sud à travers la réalisation de stations de dessalement de l'eau de mer à Djerba, Gabès et Sfax d'une capacité de dessalement journalière de 50 000 m3 chacune.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">En effet, l’expérience tunisienne en matière de gestion et de valorisation des ressources hydriques, ne cesse de jouir – comme l’a confirmé l’Ambassadeur de l'Union Européenne – d’une attention privilégiée des pays européens, qui reconnaissent l’avant-garde de cette expérience notamment dans le domaine agricole, à la lumière de l’intensification de l'utilisation de l'irrigation goutte à goutte dans les périmètres irrigués du pays.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">source : Info-Tunisie</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-79864820536114726112010-11-23T07:51:00.001+01:002010-11-21T18:51:57.999+01:00L'ONG Wateraid repense sa stratégie<div style="text-align: justify;">L’eau et l’assainissement constitue l’un des secteurs où les Etats africains font un maximum d’efforts pour améliorer les conditions de vie des populations. Avec des fortunes diverses certes, car le bilan global des actions dans le secteur, au sortir de la dernière Assemblée générale des Nations unies tenue en septembre 2010 à New York, reste en deçà des attentes. Et c’est pour contribuer à l’amélioration de la situation sur le terrain, notamment en Afrique de l’Ouest, qu’une importante rencontre de WaterAid, ONG intervenant dans le secteur de l’eau et de l’assainissement, s’est tenu le 5 octobre à Ouagadougou. L’accès à l’eau et à l’assainissement reste un grand défi en Afrique de l’Ouest, au regard des efforts qu’il faut encore fournir pour faire de ces produits de base une réalité pour la majorité des populations de cette partie de l’Afrique. Selon Mariame Dem, directrice régionale de WaterAid, le taux d’accès à l’eau potable y est de 40%. Le taux est de 32% pour ce qui est de l’accès à l’assainissement. Certes, ce ne sont là que des indicateurs au niveau régional, mais ils reflètent dans une certaine mesure la réalité dans chaque pays considéré.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le Mali par exemple est à 71,7% de taux d’accès à l’eau potable, et à 21% en ce qui concerne l’accès à l’assainissement. Le Burkina n’est pas très loin du Mali, mais doit encore faire des efforts pour être à son niveau. Il y a des disparités d’un pays à un autre au sein de l’espace CEDEAO, mais la nécessité d’améliorer l’offre en matière d’accès à l’eau et l’assainissement s’impose à tous les Etats. Et c’est pour prendre justement en compte cette nécessité et trouver ensemble de meilleures stratégies en vue de contribuer à booster les indicateurs dans le secteur, que les managers de WaterAid se sont rendus en conclave à Ouagadougou. Les participants sont venus de 7 pays de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit du Nigeria, du Niger, du Mali, du Ghana, du Liberia, de la Sierra Léone, et du Burkina. Pour la représentante-résidente de WaterAid Mali, Fatoumata Haïdara, cette réunion de Ouagadougou a été d’une importance capitale en ce sens qu’elle va permettre aux participants d’avoir une dynamique d’équipe, de partager les bonnes pratiques, de prendre des décisions utiles en vue de relever les défis dans le secteur de l’eau et de l’assainissement. Des responsables au siège de WaterAid à Londres ont pris également part à la réunion de Ouagadougou. Ce sont notamment Jerry Adam, directeur du département de l’effectivité des programmes, et Alan Machin, responsable de la collecte des fonds. D’ici à 2015 WaterAid va travailler à mobiliser 100 millions de livres sterling pour la réalisation de programmes dans le domaine de l’eau et de l’assainissement.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Source Wateraid</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-10484855094563837672010-11-21T18:38:00.003+01:002010-11-21T18:48:22.165+01:00Acheminer de l'eau potable dans les villages de haute montagne du Népal<div style="text-align: justify;">Des milliards de personnes vivent encore sans eau potable de par le monde. Dans le village de Serachaur à l'ouest du Népal, les femmes devaient faire plusieurs kilomètres à pied tous les jours pour aller chercher de l'eau. Grâce à la Banque mondiale, un nouveau programme d'hygiène publique a permis d'améliorer considérablement les conditions de vie de milliers de personnes des zones rurales du Népal.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Lien video : <a href="http://www.youtube.com/user/onuenaction#p/u/7/DKff3qL60sw">http://www.youtube.com/user/onuenaction#p/u/7/DKff3qL60sw</a></div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"><object style="height: 190px; width: 320px" width="190" height="320"></object></div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-9608285568864373702010-11-20T23:36:00.000+01:002010-11-30T23:37:52.462+01:00Les Maldives se battent contre leur disparition programmée<div style="text-align: justify;">Les Maldives veulent devenir un symbole à suivre dans la diminution des émissions de CO2. Même si celles des îles sont minimes à l’échelle mondiale, le pays s’est engagé à devenir neutre en carbone à l’horizon 2020. Avec son altitude la plus élevée à un peu plus de 3 mètres au-dessus du niveau de la mer, il faut dire que le pays est directement touché par la menace de hausse du niveau des océans. Pour réaliser son objectif, la République des Maldives s’est donc associée avec la Compagnie Benjamin de Rothschild, basée à Genève et sa filiale BeCitizen dans le conseil en stratégie environnementale. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Dévoilé hier, l’audit de BeCitizen et financé par la Compagnie Benjamin de Rothschild a fourni les premières pistes pour mettre en oeuvre un schéma directeur. L’audit a aussi montré la dépendance de l’île au diesel, qui représente 15% de son PIB, chiffre qui pourrait quadrupler d’ici 2020 si rien n’est fait. La conception du schéma et le début de sa mise en oeuvre prévus pour 2011 sont estimés à environ un million de dollar selon Hugo Ferreira, directeur général adjoint de la Compagnie Benjamin de Rothschild. Il ne sera pas financé par le groupe financier, ce dernier s’engageant plutôt à trouver le financement nécessaire par le biais de fondations et d’institutions multilatérales. Il donne ainsi en exemple le Danemark qui a fourni un prêt aux Maldives pour ce type de projet. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Comme l’explique Ariane de Rothschild, vice-présidente du Groupe Edmond de Rothschild et présidente de BeCitizen, le groupe met au service de tels projets environnementaux son expertise dans les partenariats publics-privés et dans les mécanismes de financement innovants. Ce qui passe notamment par la micro-finance et par les mécanismes de développement propre (MDP) prévu par les accords de Kyoto. Prochaine étape, la publication du schéma directeur détaillant concrètement les actions à entreprendre pour atteindre la neutralité carbone. «L’atteinte de la neutralité carbone en 2020 est possible, affirme Flora Bernard, directrice associée de Be-Citizen. Cela passe principalement par l’indépendance énergétique du pays, tout en s’assurant que les solutions apportent également d’autres bénéfices environnementaux en termes de stockage de carbone, de gestion des ressources et de préservation de la biodiversité.»</div>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7016878848019385908.post-76466656462918740022010-11-17T12:27:00.000+01:002010-11-21T18:37:57.204+01:00Hongrie : la qualité de l’eau demeure satisfaisante<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span>Depuis la coulée de boues rouges toxiques intervenue au début du mois d’octobre qui a tué 9 personnes et blessé 150 autres en Hongrie début octobre, l'Organisation mondiale de la Santé effectue une surveillance rigoureuse de la qualité de l'eau sur la zone touchée. </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span>Dans un communiqué publié le 19 octobre, l’OMS juge que "<i>la qualité de l'eau potable fournie dans les zones touchées est restée satisfaisante (...) Elle ne pose pas de risque de santé à la population". En revanche, une surveillance continue "demeure essentielle pour évaluer les risques</i>".</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span>Une équipe d'experts s'est rendue sur les lieux du sinistre afin de procéder à des prélèvements et apporter une assistance supplémentaire au gouvernement hongrois dans son évaluation sur les conséquences potentielles à court et long termes de la catastrophe sur la santé.</span></p> <p style="text-align: justify;margin-bottom: 0.0001pt; ">Source : Enviro2b</p>Infos eauhttp://www.blogger.com/profile/12594125216223907488noreply@blogger.com0