Dans les pays du Sahel – Sénégal, Mauritanie et Niger – le droit des femmes reste limité et notamment par rapport à leur accès à l’eau à usage agricole.
Cependant, il apparaît de plus en plus nettement que leur rôle dans le système de production agricole est primordial.
C’est pourquoi le RADI (Réseau Africain pour le développement intégré) vient de proposer un grand projet visant à améliorer l’accès de l’eau destinée à l’agriculture pour les femmes en lançant une «méthodologie du projet de recherche-action sur l’effectivité des droits économiques des femmes au Sahel : cas du droit à l’eau à usage agricole en Mauritanie, au Niger et au Sénégal». Cette action, en lien avec le Centre de recherche pour le développement intégré a pour but de réfléchir sur ce sujet, encore très peu exploré, ce qui permettrait de lutter contre la pauvreté.
Le président du RADI, Abdou Mazide Ndiaye, déclare en effet que «les disparités de genre dans l’accès aux ressources hydriques à usage agricole, obstacles juridiques et culturels à l’accès des femmes à l’eau à usage agricole ne sont pas suffisamment élucidés». Il précise de plus que toute la réflexion liée à cette question de l’accès à l’eau à usage productif et agricole pour les femmes serait le moyen de promouvoir le droit économique, la justice sociale, l’égalité des sexes et la citoyenneté des femmes.
Cependant, il apparaît de plus en plus nettement que leur rôle dans le système de production agricole est primordial.
C’est pourquoi le RADI (Réseau Africain pour le développement intégré) vient de proposer un grand projet visant à améliorer l’accès de l’eau destinée à l’agriculture pour les femmes en lançant une «méthodologie du projet de recherche-action sur l’effectivité des droits économiques des femmes au Sahel : cas du droit à l’eau à usage agricole en Mauritanie, au Niger et au Sénégal». Cette action, en lien avec le Centre de recherche pour le développement intégré a pour but de réfléchir sur ce sujet, encore très peu exploré, ce qui permettrait de lutter contre la pauvreté.
Le président du RADI, Abdou Mazide Ndiaye, déclare en effet que «les disparités de genre dans l’accès aux ressources hydriques à usage agricole, obstacles juridiques et culturels à l’accès des femmes à l’eau à usage agricole ne sont pas suffisamment élucidés». Il précise de plus que toute la réflexion liée à cette question de l’accès à l’eau à usage productif et agricole pour les femmes serait le moyen de promouvoir le droit économique, la justice sociale, l’égalité des sexes et la citoyenneté des femmes.
1 commentaire:
L'émancipation des femmes et l'égalité de genre dans tous les domaines doivent être instaurées dans toutes les sociétés et partout dans le monde. Il est plus que nécessaire d'éduquer les nouvelles générations dans ce sens et d'intégrer pleinement les femmes dans la sphère publique pour leur permettre de gérer les ressources, de subvenir à leurs besoins et à ceux des autres, de pouvoir vivre de leur travail décemment sans être menacée d'une quelconque injustice du fait qu'elles sont des femmes! Rejoignez osezlefeminisme!
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