Dans cette région, les sources d'eau naturelles ont été polluées par les activités pétrolières ce qui les rend de plus en plus dangereuses pour la population.
Durant l’administration Olusegun Obasanjo, le gouvernement fédéral aurait investi 10.6 billiards de Nairas (environ 50 millions d’euros) pour la mise en place de plus de 1330 nouveaux systèmes de d'approvisionnement de l’eau, avec l'intention de donner accès à l’eau potable à plus de 8,14 millions de personnes à travers le pays. Et depuis 2000, sur les 800 projets mis en œuvres par la Commission du développement du delta du Niger (NDDC), environ 120 sont consacrés à l’amélioration de l’accès à l’eau.
Malheureusement, parmi ces projets, nombreux sont ceux qui n’aboutissent pas et pour ceux qui sont menés à terme, il n’est pas rare qu’ils ne fonctionnent pas correctement.
Dernièrement, le coordonnateur du Stakeholder Democracy Network (SDN), Gaia Sprocati, a déclaré qu’un grand projet eau-solaire conçu autour d'un forage profond avec une capacité de pomper 44000 litres d'eau par jour venait d’être terminé.
«Ce projet est destiné à détruire un certain nombre de préjugés, tels que l'affirmation que les régions à faible couverture nuageuse ne sont pas adaptés pour le solaire», a déclaré M. Sprocati.
M. Sprocati poursuit en disant que l'impulsion pour ce projet se trouve dans les centaines d’autres qui ont échoués, comme, par exemple les moteurs diesel qui parsèment la région et qui ont généralement fonctionné pendant un an avant l'échec et l'abandon. Toutefois, ces défis ont permis de mieux évaluer la situation et de permettre ainsi de concevoir des systèmes techniquement durables pour la région.
Un ingénieur de l'eau de l'Etat de Rivers, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, a déclaré que la croissance démographique est plus rapide que le développement d'approvisionnement en eau, ce qui entraîne une difficulté à assurer ce service de façon efficace. D’après lui, le système existant ne pourra être amélioré si des modifications au niveau structurelles et institutionnelles ne sont pas apportées, ce qui est rendu d’autant plus difficile à cause des restrictions budgétaires.
Source : Next
Durant l’administration Olusegun Obasanjo, le gouvernement fédéral aurait investi 10.6 billiards de Nairas (environ 50 millions d’euros) pour la mise en place de plus de 1330 nouveaux systèmes de d'approvisionnement de l’eau, avec l'intention de donner accès à l’eau potable à plus de 8,14 millions de personnes à travers le pays. Et depuis 2000, sur les 800 projets mis en œuvres par la Commission du développement du delta du Niger (NDDC), environ 120 sont consacrés à l’amélioration de l’accès à l’eau.
Malheureusement, parmi ces projets, nombreux sont ceux qui n’aboutissent pas et pour ceux qui sont menés à terme, il n’est pas rare qu’ils ne fonctionnent pas correctement.
Dernièrement, le coordonnateur du Stakeholder Democracy Network (SDN), Gaia Sprocati, a déclaré qu’un grand projet eau-solaire conçu autour d'un forage profond avec une capacité de pomper 44000 litres d'eau par jour venait d’être terminé.
«Ce projet est destiné à détruire un certain nombre de préjugés, tels que l'affirmation que les régions à faible couverture nuageuse ne sont pas adaptés pour le solaire», a déclaré M. Sprocati.
M. Sprocati poursuit en disant que l'impulsion pour ce projet se trouve dans les centaines d’autres qui ont échoués, comme, par exemple les moteurs diesel qui parsèment la région et qui ont généralement fonctionné pendant un an avant l'échec et l'abandon. Toutefois, ces défis ont permis de mieux évaluer la situation et de permettre ainsi de concevoir des systèmes techniquement durables pour la région.
Un ingénieur de l'eau de l'Etat de Rivers, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, a déclaré que la croissance démographique est plus rapide que le développement d'approvisionnement en eau, ce qui entraîne une difficulté à assurer ce service de façon efficace. D’après lui, le système existant ne pourra être amélioré si des modifications au niveau structurelles et institutionnelles ne sont pas apportées, ce qui est rendu d’autant plus difficile à cause des restrictions budgétaires.
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