À Hanoi, nombre d'habitants des arrondissements de Thanh Tri, Hoàng Mai, Hoàn Kiêm, Dông Da et Thanh Xuân manquent d'eau potable, bien que l'usine de traitement des eaux du sông Dà (rivière Noire), avec sa capacité de traitement de 300.000 m3, soit suffisante.
La faute aux infrastructures encore insuffisantes pour assurer l'adduction d'eau potable vers la capitale.
Face à cette situation, la compagnie d'eau potable de la capitale vient de mettre en œuvre le plan de réception et de répartition de l'eau potable de l'usine de traitement des eaux de la rivière Dà, lequel relève du projet d'exploitation des eaux de cette rivière. Selon le projet, le volume de 30.000 m3/jour distribué en 2008 sera porté cette année à près de 70.000 m3/jour au profit de 76.000 personnes, soit le 1/5 de la capacité totale de l'usine de traitement des eaux du sông Dà.
source : cvn
Toujours selon le plan, le projet d'exploitation des eaux du sông Dà prévoit 14 axes d'adduction en direction de Hanoi, mais en réalité, 3 de ceux-ci sont seulement opérationnels pour une capacité de 100.000 m3/jour, alimentant les zones du Centre national de conférences, Nga Tu So et Hô Tùng Mâu. Si leur construction est achevée. Pourtant, ces axes ne sont pas encore connectés aux quartiers qu'ils doivent desservir faute d'infrastructures adéquates. Selon la compagnie d'alimentation en eau potable de Hanoi, cette situation résulte des difficultés de libération des terrains.
Devant cet état de chose, le Comité populaire de Hanoi a consacré 157 milliards de dôngs pour la construction des infrastructures nécessaires.
Selon les scientifiques, l'exploitation des eaux de la rivière est une meilleure solution que celle des nappes phréatiques, car elle présente moins de risques en termes de pollution, respecte les normes de consommation du ministère de la Santé, et constitue une ressource stable, même en saison sèche.
Ainsi, pour satisfaire les besoins en eau potable des citadins, Hanoi doit régler les problèmes de son réseau d'adduction afin d'alimenter chaque quartier de son agglomération. Un mécanisme adéquat de fixation des prix doit également être élaboré afin d'attirer plus d'entreprises dans le secteur de la distribution d'eau potable, un mécanisme qui d'ailleurs assure un certain équilibre entre les intérêts des producteurs et des consommateurs. Récemment, la sarl d'alimentation en eau propre Vinaconex a demandé au Comité populaire de Hanoi de ratifier un plan de réajustement du prix de vente en gros de l'eau potable de l'usine de traitement des eaux de la rivière Dà vers Hanoi tout en assurant les intérêts légitimes des fournisseurs d'eau potable.
La faute aux infrastructures encore insuffisantes pour assurer l'adduction d'eau potable vers la capitale.
Face à cette situation, la compagnie d'eau potable de la capitale vient de mettre en œuvre le plan de réception et de répartition de l'eau potable de l'usine de traitement des eaux de la rivière Dà, lequel relève du projet d'exploitation des eaux de cette rivière. Selon le projet, le volume de 30.000 m3/jour distribué en 2008 sera porté cette année à près de 70.000 m3/jour au profit de 76.000 personnes, soit le 1/5 de la capacité totale de l'usine de traitement des eaux du sông Dà.
source : cvn
Toujours selon le plan, le projet d'exploitation des eaux du sông Dà prévoit 14 axes d'adduction en direction de Hanoi, mais en réalité, 3 de ceux-ci sont seulement opérationnels pour une capacité de 100.000 m3/jour, alimentant les zones du Centre national de conférences, Nga Tu So et Hô Tùng Mâu. Si leur construction est achevée. Pourtant, ces axes ne sont pas encore connectés aux quartiers qu'ils doivent desservir faute d'infrastructures adéquates. Selon la compagnie d'alimentation en eau potable de Hanoi, cette situation résulte des difficultés de libération des terrains.
Devant cet état de chose, le Comité populaire de Hanoi a consacré 157 milliards de dôngs pour la construction des infrastructures nécessaires.
Selon les scientifiques, l'exploitation des eaux de la rivière est une meilleure solution que celle des nappes phréatiques, car elle présente moins de risques en termes de pollution, respecte les normes de consommation du ministère de la Santé, et constitue une ressource stable, même en saison sèche.
Ainsi, pour satisfaire les besoins en eau potable des citadins, Hanoi doit régler les problèmes de son réseau d'adduction afin d'alimenter chaque quartier de son agglomération. Un mécanisme adéquat de fixation des prix doit également être élaboré afin d'attirer plus d'entreprises dans le secteur de la distribution d'eau potable, un mécanisme qui d'ailleurs assure un certain équilibre entre les intérêts des producteurs et des consommateurs. Récemment, la sarl d'alimentation en eau propre Vinaconex a demandé au Comité populaire de Hanoi de ratifier un plan de réajustement du prix de vente en gros de l'eau potable de l'usine de traitement des eaux de la rivière Dà vers Hanoi tout en assurant les intérêts légitimes des fournisseurs d'eau potable.
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