Avec Un monde sans eau ?, sorti le 8 octobre, le réalisateur autrichien Udo Maurer nous fait prendre conscience, à travers les trois chapitres qui composent ce film, des divers problèmes liés à l’eau.
La première partie, qui se déroule au Bangladesh, dépeint la vie des paysans du delta du fleuve Brahmaputra, qui font face à la montée des eaux au moment de la mousson. L’eau a forcé ces hommes et ces femmes à se muer en nomades.
On part ensuite au Kazakhstan, où la mer d’Aral a perdu la moitié de sa superficie, à cause de la politique soviétique d’irrigation des cultures cotonnières. Cette catastrophe écologique et humanitaire a obligé des hommes et des femmes à parcourir des longues distances, pour continuer à vivre de la pêche.
Le film se clôt à Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi (Kenya) où l’accès à l’eau est soumis à la volonté de quelques vendeurs d’eau accrédités par les autorités locales. Certains habitants sont amenés à marcher plusieurs kilomètres pour recueillir le bien précieux qui alimentera tout leur quartier.
La première partie, qui se déroule au Bangladesh, dépeint la vie des paysans du delta du fleuve Brahmaputra, qui font face à la montée des eaux au moment de la mousson. L’eau a forcé ces hommes et ces femmes à se muer en nomades.
On part ensuite au Kazakhstan, où la mer d’Aral a perdu la moitié de sa superficie, à cause de la politique soviétique d’irrigation des cultures cotonnières. Cette catastrophe écologique et humanitaire a obligé des hommes et des femmes à parcourir des longues distances, pour continuer à vivre de la pêche.
Le film se clôt à Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi (Kenya) où l’accès à l’eau est soumis à la volonté de quelques vendeurs d’eau accrédités par les autorités locales. Certains habitants sont amenés à marcher plusieurs kilomètres pour recueillir le bien précieux qui alimentera tout leur quartier.
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